Duas Barras, 134 ans.
Ici, ce n’est pas seulement l’endroit où je suis né.C’est là où j’ai été forgé.
Chaque pierre du pavé garde une version de moi — enfant, rêveur, guerrier.
C’est ici que j’ai vu l’improbable se produire :
croiser Lenny Kravitz dans la rue comme dans une scène de film
— et comprendre que l’extraordinaire vit là où le cœur bat encore sans scénario.
À Duas Barras, les plus grandes histoires ne sont pas écrites sur des plaques ou dans des livres,
elles sont gravées dans le regard de ceux qui vivent, résistent et rêvent.
Je remercie pour chaque silence, chaque matin de brouillard, chaque coin de rue qui m’a appris à voir au-delà.
Je t’aime, ma ville.
Que nous continuions à grandir… sans jamais perdre notre âme.
Nenhum comentário:
Postar um comentário